Sans recours devant les tribunaux américains ou le Congrès, le mouvement des contribuables contre le génocide se tourne vers le Conseil des droits de l'homme de l'ONU, rapporte Marjorie Cohn.
En Palestine, Israël a été le bourreau et les États-Unis ont été les exécutants du nettoyage ethnique et du génocide, même si ce sont ceux qui défendent le droit international qui sont blâmés, écrit M. Reza Behnam.
Le ministre israélien de la Défense suit simplement la position de Trump et réitère ce que tous ceux qui ne sont pas des partisans bornés savaient que Trump disait il y a deux semaines, explique Caitlin Johnstone.
MISE À JOUR : Le soutien américain au génocide israélien contre la Palestine s'enracine non seulement dans le financement de la campagne électorale, mais aussi dans d'autres facteurs, notamment une idéologie rigide coincée dans l'ombre de la Seconde Guerre mondiale, écrit Joe Lauria.
L'administration n'a pas contesté l'existence d'un génocide en cours, écrit Marjorie Cohn. Mais le comité d'appel composé de trois juges n'a pas semblé ému par les affirmations des plaignants selon lesquelles l'administration Biden est complice du génocide israélien.
Des documents récemment déclassifiés montrent ce que Canberra savait des événements qui se sont déroulés sur le terrain à Gaza après le 7 octobre, rapporte Kellie Tranter.
Jeudi, des représentants sud-africains ont exhorté la Cour mondiale à vérifier qu'Israël n'a pas suivi son ordre d'empêcher les actes génocidaires de ses forces militaires.
La nation centraméricaine a déposé lundi des accusations formelles contre la République fédérale devant la Cour internationale de Justice de La Haye, exigeant que Berlin cesse d’armer Israël.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a débattu mercredi de la décision de la Cour mondiale de vendredi dernier selon laquelle Israël doit être jugé pour génocide après avoir trouvé des preuves plausibles contre lui.