Mois: Mars 2014

Les militants de guerre

Après avoir échappé à toute responsabilité dans la guerre en Irak et d’autres catastrophes sanglantes, les néoconservateurs vedettes William Kristol et Robert Kagan ont remodelé leurs arguments pro-guerre, les habillant d’habits humanitaires et d’accessoires glamour de grandeur nationale, comme l’explique David Swanson.

La Crimée et la punition

Les hommes politiques et les experts américains veulent que le peuple américain soit tellement contrarié par la décision de la Crimée de se séparer de l’Ukraine et de rejoindre la Russie qu’il soutiendra davantage de dépenses militaires américaines et davantage d’interventions américaines dans le monde, une erreur de lecture tragique…

Le secret du Watergate de Robert Strauss

Rapport spécial : Robert Strauss, décédé mercredi, était un homme de pouvoir démocrate qui a prospéré à l'époque de Nixon, Reagan et Bush-41. Mais un mystère persistant dans le Watergate est de savoir si Strauss a gagné ses galons républicains en aidant secrètement les Républicains dans le scandale d’espionnage, rapporte Robert…

La « réflexion de groupe » anti-Poutine de WPost

Exclusif : Dans une démonstration étonnante de « réflexion de groupe », la quasi-totalité de la section éditoriale du Washington Post a été consacrée aux dénonciations du président russe Poutine, en particulier à sa conviction « folle » selon laquelle le gouvernement américain ignore souvent le droit international et applique « la règle de…

Boomerangs de « l’exceptionnalisme » américain

Washington estime que « l’exception américaine » signifie que le gouvernement américain peut ignorer le droit international lorsqu’il intervient dans d’autres pays. Mais cette hypocrisie revient maintenant aux États-Unis avec l’annexion de la Crimée par la Russie, comme l’explique l’ancien analyste de la CIA Paul R. Pillar.

Le pari Ukraine-Syrie-Iran des néoconservateurs

Exclusif : La crise ukrainienne, en partie attisée par les néoconservateurs américains, a porté atteinte aux perspectives de paix non seulement aux frontières russes mais aussi dans deux points chauds du Moyen-Orient, la Syrie et l'Iran, ce qui pourrait être exactement le cas, rapporte Robert Parry.

Pourquoi Tony Benn du Royaume-Uni ne s'est pas plié

Depuis l’ère Thatcher/Reagan, les « libéraux » comme Tony Blair et Bill Clinton se sont précipités vers un terrain politique « plus sûr », qu’il s’agisse d’approuver des guerres d’agression ou d’adopter la déréglementation. Mais certains progressistes, comme le britannique Tony Benn, ont refusé de céder, comme le rappelle Michael Winship.

La «reprise» de l’Europe n’est pas si brillante

Exclusif : La grande presse américaine explique le vote massif en Crimée en faveur de la sortie de l'Ukraine comme une fraude électorale ou une coercition, mais la réalité est que les « aspirations européennes » ne sont pas si attrayantes pour les gens conscients de la vie douloureuse de nombreux habitants de la « périphérie » de l'UE. de l’Espagne à…

Les risques d’une nouvelle guerre froide à « somme nulle »

Le tumulte unilatéral au sein des autorités officielles de Washington à propos de la crise ukrainienne, une description caricaturale incluant même des parallèles avec Hitler, ignore les nombreuses zones grises sur le terrain. Selon Paul R. Pillar, ancien analyste de la CIA, cela menace également de recréer les dangereux calculs de la « somme nulle » de la guerre froide.