Ceux qui ont dénoncé des illégalités — notamment Julian Assange, Edward Snowden, Chelsea Manning, John Kiriakou et David McBride — ont presque toujours été les seuls à être punis pour les crimes qu’ils ont révélés.
Bloquant sa capacité à révéler au jury ses motivations, un juge a condamné David McBride à 5 ans et 8 mois de prison, dont il a passé son 365e jour mercredi, pour avoir divulgué des preuves de crimes de guerre australiens en Afghanistan.
Ce week-end marque le 11e anniversaire du massacre de 48 Russes de souche brûlés vifs par des voyous d'extrême droite à Odessa, un massacre qui a déclenché des déclarations d'indépendance dans le Donbass, conduisant à la guerre civile en Ukraine et à l'intervention finale de la Russie.
Ce bref aperçu des cinq dernières décennies montre que les attaques du mois dernier contre l'hôpital d'oncologie Al Rasool Al-Azam au Yémen sont loin d'être une aberration, écrit Alan MacLeod.
Pour les derniers exemples, regardez où viennent d'atterrir deux des responsables de la politique étrangère les plus désastreux de l'administration Biden, écrivent Edward Ahmed Mitchell et Ismail Allison.
RAPPORT SPÉCIAL : David McBride a comparu devant un tribunal de Canberra plus tôt ce mois-ci en appel de sa condamnation dans une affaire qui pourrait déterminer si le devoir d'un soldat est de servir uniquement le roi ou également le public, rapporte Joe Lauria.
Les économies de l’Europe occidentale sont en train d’être réorientées sur un pied de guerre, sous l’impulsion d’une Union européenne totalement transformée, dont les dirigeants canalisent désormais une haine héréditaire atavique envers la Russie.
Alors que le complexe militaro-industriel semble tout à fait naturel à la plupart des hommes politiques et des journalistes, Norman Solomon affirme que ses conséquences ont transformé la politique américaine.
Richard Norton-Taylor revient sur les dernières nouvelles de l'enquête Haddon-Cave sur un groupe d'élite de soldats britanniques qui opèrent avec moins de contrôle public que les agences d'espionnage.
La « guerre contre le terrorisme » s’est construite sur une série de tromperies destinées à persuader l’opinion publique occidentale que ses dirigeants s’efforçaient d’écraser l’extrémisme islamiste. En réalité, ils l’alimentaient.