Le secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires de l'ONU, Tom Fletcher, fustige Israël pour avoir intentionnellement affamé Gaza et fait honte au reste du monde pour ne pas avoir réussi à y mettre un terme.
Les actions génocidaires d’Israël en Cisjordanie comprennent le déni des services de base, les déplacements forcés, les massacres, l’incarcération et la destruction des infrastructures.
Une force de maintien de la paix juridiquement acceptable ne peut être mise en place que sous les auspices du Conseil de sécurité des Nations Unies, ce qui impliquerait l'accord des deux camps en guerre, écrit Joe Lauria.
Sachant bien à l'avance que la Russie le rejetterait, les États-Unis et l'Ukraine ont annoncé en fanfare que leur accord de cessez-le-feu était « entre les mains de la Russie », dans ce qui était un exercice de pure relations publiques, écrit Joe Lauria.
Que s'est-il passé ? S'agit-il du syndrome de Srebrenica ? L'auteur interroge Andrea Tenenti, porte-parole de la FINUL, sur ce qui s'est passé dans le sud du Liban le 26 janvier.
Dans une déclaration étrange, le président américain a déclaré que les ouvriers du bâtiment « commenceraient lentement et prudemment » à reconstruire Gaza sans avoir recours aux troupes américaines. Il a ajouté qu'Israël reprendrait les combats, rapporte Joe Lauria.
Trois ans avant son intervention en Syrie, la Russie craignait qu'une prise de pouvoir islamiste à Damas ne conduise à un chaos généralisé dans la région, à la manière d'un nouvel Afghanistan au Levant, rapportait Joe Lauria en 2012.
Les Casques bleus de l'ONU au Liban sont autorisés à utiliser la force dans plusieurs circonstances, notamment en cas de légitime défense et de prévention d'actions hostiles dans leur zone de déploiement, écrit Joe Lauria.